« Hadrien cherche la beauté la plus intense de la terre. »
« Antinoüs faisait avec son corps la même chose que Praxitèle avec un bloc de marbre. Il en extrayait toute la beauté, l’illuminait. Il le transformait en quelque chose de serein, en dehors du temps. »
Vers la fin de sa vie, l’empereur Hadrien s’est retiré dans sa villa de Tivoli, loin de Rome. Malade et mélancolique, il se promène parmi les édifices fantasques et les œuvres d’art qu’il aime tant.
Il parle avec des poètes, des peintres, des philosophes, deux ou trois amis qui lui restent. Il essaie de trouver quelque chose d’absolu, quelque chose qui ne peut pas mourir ; il le cherche dans les rêves, dans l’art, dans le songe de son amour inoubliable pour Antinoüs.
Sur le même thème que Marguerite Yourcenar avec Les Mémoires d’Hadrien, Antonio Costa Gomez à écrit une œuvre très différente, onirique, visionnaire et passionnée ?

Traduit de l’espagnol par Ana Simon et Souha Yazigi.


L’auteur : Antonio Costa Gomez, né en 1956 à Barcelone, licencié en philologie hispanique et en histoire de l’art, est professeur de lettres à Madrid. Grand connaisseur de Rainer Maria Rilke, il a traduit sa poésie en espagnol. Il a publié Les Amants de Teruel (1985), La Soie et la Brume (2006), Les Fontaines du délire (2006), La Sérénité passionnée (2008), Mateo, le maître de Compostelle (2011).


112 pages, mai 2015.

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